« Trois générations, cinquante-cinq mètres carrés : ma vie étouffée entre les murs »
Hier encore, je me suis enfermée dans la salle de bain, non pas pour me laver, mais pour pleurer en silence. Trois générations sous le même toit, dans un petit appartement parisien, et je sens que je m’efface chaque jour un peu plus. Est-ce que l’amour familial suffit à supporter l’étouffement du quotidien ?