Depuis des années, je vis dans l’ombre de l’avarice de mon mari, François. Chaque euro est pour lui plus important que mes rêves ou mes besoins. Aujourd’hui, je me demande si notre amour peut survivre à tant de privations.
Ce soir, j’ai craqué. J’ai hurlé, pleuré, supplié mon mari de partager les tâches ménagères, mais il est resté de marbre. Je raconte ici la fatigue, l’injustice et la solitude qui rongent tant de femmes en France.
Mon mari m’a quittée après trente ans de mariage, sans cris ni larmes, juste une phrase qui a tout brisé. J’essaie de comprendre comment on en est arrivés là, entre routine, silence et secrets de famille. Aujourd’hui, je me demande si l’amour peut vraiment survivre à l’usure du quotidien.
Hier encore, je me suis enfermée dans la salle de bain, non pas pour me laver, mais pour pleurer en silence. Trois générations sous le même toit, dans un petit appartement parisien, et je sens que je m’efface chaque jour un peu plus. Est-ce que l’amour familial suffit à supporter l’étouffement du quotidien ?
Je me souviens de ce matin de juin où mon fils m’a appelée, la voix pleine d’espoir. J’ai accepté de garder mes petits-enfants tout l’été, croyant que ma famille verrait enfin tout ce que je fais pour eux. Mais aujourd’hui, alors que septembre arrive, je me demande si l’amour d’une mère et d’une grand-mère est vraiment reconnu.
Je me réveille en sursaut, le visage de ma belle-mère encore imprimé dans mon esprit. Mon mari, Paul, passe de plus en plus de temps chez elle, savourant ses plats comme s’il retrouvait un amour perdu. Je me demande : suis-je simplement jalouse, ou est-ce le signe que quelque chose se brise entre nous ?
