Cet été-là, j’ai dû affronter la perte de mon père et la perspective de vendre la maison familiale. Entre les disputes avec ma sœur et l’attente de mon premier enfant, j’ai cherché un sens à ce deuil. Aujourd’hui, je me demande si l’on peut vraiment tourner la page sans trahir ce que l’on a été.
J’ai grandi sur ce petit terrain en Bretagne, berceau de mes souvenirs les plus tendres. Des années plus tard, mon fils, sans le savoir, a rallumé une querelle familiale en tentant de racheter ce bout de terre. Aujourd’hui, je me demande si l’on peut vraiment tourner la page sur le passé, ou si nos racines finissent toujours par nous rattraper.
Cinquante ans après notre mariage, j’ai décidé de ressortir ma robe de mariée pour surprendre mon mari, Étienne. Ce geste a réveillé en nous des souvenirs enfouis, mais aussi des blessures jamais refermées. Entre rires, larmes et révélations, cette journée a bouleversé notre couple et toute notre famille.
Ma sœur m’a posé un ultimatum glacial : vendre la maison de nos parents ou couper les liens familiaux. Ce soir-là, tout notre passé commun a vacillé. Entre souvenirs, rancœurs et choix impossibles, j’ai dû affronter la vérité sur notre famille.
En rangeant la cave un samedi matin, je suis tombée sur un vieux journal appartenant à mon mari. Ce que j’y ai lu a bouleversé tout ce que je croyais savoir sur lui et sur notre couple. Depuis, je n’arrive plus à croiser son regard sans ressentir un mélange de colère, de tristesse et de doute.
Depuis mon enfance dans une cité de banlieue, la chanson a été mon refuge et mon rêve secret. Aujourd’hui, alors que ma petite-fille ne sait même pas que j’ai chanté, je me demande ce qu’il reste de nos passions sacrifiées. Cette histoire est celle d’un rêve étouffé par la vie, mais aussi d’un espoir qui ne meurt jamais.
