Sous l’ombre de ma belle-mère : le poids d’une aide silencieuse – Confession d’une mère française
J’ai toujours cru que ma belle-mère, Françoise, était heureuse de garder mes enfants. Mais un jour, j’ai compris à quel point ce rôle la pesait, et combien mon propre silence avait contribué à son épuisement. Aujourd’hui, je me demande si nous sommes capables de nous dire la vérité en famille, avant qu’il ne soit trop tard.